Par ce chapelet, tu obtiendras tout, si ce que tu demandes est conforme à ma volonté. (Petit Journal)
Le vendredi 13 novembre 1936, Jésus inspire à sœur Faustine le texte du chapelet de la Miséricorde. (Petit Journal)
Elle fait appel au plus fort des arguments : Dieu ne peut rejeter nos demandes si nous les Lui présentons par les mérites de la Passion de son Fils Bien-Aimé.
Les demandes sont faites pour nous et pour le monde entier, y compris pour les âmes du Purgatoire.
La prière de ce chapelet est un acte de confiance en Dieu et un acte d’amour du prochain, deux conditions indispensables pour être exaucés. Sans oublier un esprit de contrition et de repentir pour les péchés commis.
On peut le dire tous les jours ou en neuvaine ou dans certaines occasions où il y a urgence (avant ou au moment d’un danger… au chevet de grands malades de mourants…)
Au début :
Notre Père…
Je vous salue Marie…
Je crois en Dieu…
Sur les gros grains (1 fois) :
Père Éternel, je T’offre le Corps et le Sang, l’Âme et la Divinité de ton Fils bien-aimé, notre Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier.
Sur les petits grains (10 fois) :
Par sa douloureuse Passion, sois miséricordieux pour nous et le monde entier.
Pour terminer (3 fois) :
Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Éternel, prends pitié de nous et du monde entier.